jeudi 30 octobre 2014

Le 30 du mois #2

Peine perdue, je pensais naïvement que ce nouveau rendez-vous blogueste serait pour moi un très bon électrochoc et que je stopperais ou du moins ralentirais fortement le gonflement de ma Pàl. Mais il n'en est rien. Et je croise les doigts pour que cette frénésie stoppe ! Il faut tout de même noter que je suis aller à deux charmant salon du livre et par conséquent se déplacer sans acheter relève du blasphème suprême ! Si si ! Allez j'ouvre les Hostilités ( le H majuscule s'impose !) :

Entrées





les numériques :

  • Les enfants de l'Ô de Vanessa du Frat


Les papiers :

  • Pandémie, l’effondrement de Alexandre Lang
  • Manesh de Stefan Platteau
  • Les âmes envolées de Nicolas Le Breton 
  • Le Jardin des silences de Mélanie Fazi
  • Treize de Seth Patrick
  • L'héritière de Jeanne-A Debats 
  • Dernières nouvelles d'Œstrénie de Anne-Sylvies Salzman 
  • Le voie des Oracles de Estelle Faye
  • Breizh of the Dead de Julien Morgan
  • Les étoiles regardent aussi de Julein Morgan (déjà lu mais en epub)
  • Celle qui avait tous les dons de M.R Carey
  • Yama Loka Terminus de Léo Henry et Jacques Mucchielli

Sorties 


La lisière de Bohème de Jacque Baudou  7/7

Le souvenir, tout à la fois vivace et diffus, d’une lecture d’enfance qui l’a profondément marquée conduit une jeune femme jusqu’à la maison forestière où un écrivain reconnu fait retraite. Mais leur rencontre, loin de mettre un terme à sa quête, va l’entraîner vers bien d’autres mystères.
Ceux de la Grande Forêt qui couvre tout le pays. Ceux de la somptueuse et fuyante Folie Millescande. Ceux de l’énigmatique et évanescent Domaine. Cependant, elle la mettra également sur la piste des trois personnages qui depuis des années hantent sa mémoire.







Bird Box de Josh Malerman    4/7

La plupart des gens n’ont pas voulu y croire. Les incidents se passaient loin, sans témoins. Mais bientôt, la menace s’est rapprochée, a touché les voisins. Ensuite, Internet a cessé de fonctionner. La télévision et la radio se sont tues. Les téléphones ne sonnaient plus. Certains, barricadés derrière leurs portes et leurs fenêtres, espéraient pouvoir y échapper.
Depuis qu’ils sont nés, les enfants de Malorie n’ont jamais vu le ciel. Elle les a élevés seule, à l’abri du danger qui s’est abattu sur le monde. Elle a perdu des proches, a assisté à leur fi n cruelle. On dit qu’un simple coup d’oeil suffi t pour perdre la raison, être pris d’une pulsion meurtrière et retourner sa violence contre soi. Elle sait que bientôt les murs de la maison ne pourront plus protéger son petit garçon et sa petite fi lle. Alors, les yeux bandés, tous trois vont affronter l’extérieur, et entamer un voyage terrifi ant sur le fl euve, tentative désespérée pour rejoindre une colonie de rescapés.
Arriveront-ils à bon port, guidés par leur seule ouïe et leur instinct ?






L'éducation de Stony Mayhall de Daryl Grégory      7/7



« En général, ça finit avec la Dernière Fille, l’unique survivante : une jeune femme en débardeur éclaboussé de sang. Elle lâche sa tronçonneuse, son fusil à canon scié, son pied-de-biche [...] et sort en titubant d’une vieille maison. [...] L’aube rougeoie sur l’horizon et les goules ont été vaincues (pour le moment, parce que les happy ends ne durent jamais). Peut-être que d’autres survivants finissent par la retrouver et l’emmènent dans une enclave, une forteresse grouillant de soldats, ou à tout le moins de civils bardés de flingues, lesquels la protégeront jusqu’au deuxième volet. Peut-être que cette enclave est située à Easterly, Iowa, à environ cent kilomètres au nord-ouest des ruines de Des Moines. Peut-être que la fille s’appelle Ruby... »
Stony a trois sœurs : Alice, Chelsea, Junie. Et sa mère Wanda, qui l’aime plus que tout. Sans oublier Kwang, son copain de toujours, persuadé que Stony possède un superpouvoir. Parce que Stony est insensible aux flèches que son ami lui plante dans le ventre histoire de rigoler... Il faut dire que Stony ne respire pas. Ne mange pas vraiment. Ne dort jamais. Et pourtant il grandit. Stony ignore ce qu’il est. Il n’a pas pris la mesure de son réel pouvoir. Ça viendra. Reste une interrogation : y en a-t-il d’autres comme lui ? La réponse à cette question emportera tout dans son sillage...


La nuit a dévoré le monde de Martin Page          5/7

Un homme a miraculeusement survécu au déferlement des zombies sur le monde. Durant des mois, il tente de survivre à l'horreur de l'apocalypse qui a frappé l'humanité.
Un Ovni littéraire, à mi-chemin du roman de genre et du roman classique : dérangeant et cruel, d'une intelligence et d'un humour acérés.
Quand les hommes se transforment en zombies, et qu'un jeune écrivain se trouve seul confronté à cette violente apocalypse, il n'est finalement pas si surpris. Depuis longtemps l'homme a fait preuve de sa décadence et de sa cruauté. Aujourd'hui, un pas de plus dans l'abomination a été franchi : il est devenu un monstre anthropophage.
Face à cette nuit de cauchemar, tel Robinson sur son île, le jeune survivant s'organise. Il vit reclus dans un appartement et se croit un temps à l'abri, en dépit des attaques répétées des morts-vivants. Mais la folie de ce nouveau monde fait vaciller sa propre raison. Pour échapper au désespoir, il réapprend à vivre et à lutter, Armé d'un fusil, il découvre avec surprise qu'il peut tuer et qu'il a même un certain talent pour ça. En réinterrogant son passé, il se livre aussi à une introspection sensible sur sa propre condition et les raisons de ses échecs passés. C'est son inadaptation à la société des hommes qui explique peut-être sa survie à cette fin du monde.
Un roman d'action, littéraire et psychologique, qui reprend les codes du genre pour mieux les subvertir.


Notre île sombre de Christopher Priest      6/7

«Je suis sale. J’ai les cheveux desséchés, pleins de sel, des démangeaisons au cuir chevelu. J’ai les yeux bleus. Je suis grand. Je porte les vêtements que je portais il y a six mois et je pue. J’ai perdu mes lunettes et appris à vivre sans. Je ne fume pas, sauf si j’ai des cigarettes sous la main. Je me saoule une fois par mois, quelque chose comme ça. La dernière fois que j’ai vu ma femme, je l’ai envoyée au diable mais j’ai fini par le regretter. J’adore ma fille, Sally.
Je m’appelle Alan Whitman… Et je survis dans une Angleterre en ruine, envahie par des populations africaines obligées de fuir leur continent devenu inhabitable.»
Notre île sombre est la version révisée du Rat blanc, une œuvre «de jeunesse» datant de 1971. Se situant dans la droite ligne des romans catastrophe de J.G. Ballard et John Wyndham, Christopher Priest y dresse le portrait ironique d’une ancienne puissance coloniale colonisée à son tour. Plus de quarante après sa première édition,Notre île sombre n’a rien perdu de son pouvoir de fascination. Sa critique de l’arrogance des pays du Nord vis-à-vis de ceux du Sud est plus que jamais d’actualité.



Black out, tome 1 de Connie Willis      Coup de Cœur 
Oxford, futur proche. L’université est définitivement dépoussiérée : historien est devenu un métier à haut risque. Car désormais, pour étudier le passé, il faut le vivre. Littéralement.
Michael Davies se prépare pour Pearl Harbor, Merope Ward est aux prises avec une volée d’enfants évacués en 1940, Polly Churchill sera vendeuse en plein coeur du Blitz, et le jeune Colin Templer irait n’importe où, n’importe quand, pour Polly…
Ils seront aux premières loges pour les épisodes les plus fascinants de la Seconde Guerre mondiale. Une aubaine pour des historiens, sauf que les bombes qui tombent sont bien réelles et une mort soudaine les guette à tout moment. Sans parler de ce sentiment grandissant que l’Histoire elle-même est en train de dérailler.
Et si, finalement, il était possible de changer le passé ?



Manger le si vous voulez de Jean Teulé    4/7

Le mardi 16 août 1870, Alain de Monéys, jeune Périgourdin intelligent et aimable, sort du domicile de ses parents pour se rendre à la foire de Hautefaye, le village voisin. Il arrive à destination à quatorze heures. Deux heures plus tard, la foule devenue folle l'aura lynché, torturé, brûlé vif et même mangé.
Pourquoi une telle horreur est-elle possible ? Comment une foule paisible peut-elle être saisie en quelques minutes par une frénésie aussi barbare ?
Ce calvaire raconté étape par étape constitue l'une des anecdotes les plus honteuses de l'histoire du XIXe siècle en France.



Le dernier Loup-garou de Glen Duncan      5/7

Jake Marlowe est le dernier de sa race. 
Pourchassé par des tueurs fanatiques qui ont juré de lui trancher la tête, protégé contre son gré par une organisation secrète désireuse de vivre au grand jour, Jake a décidé d'arrêter de fuir. La prochaine pleine lune sera sa dernière. 
«Va où tu peux, meurs où tu dois.» 
Mais pour le vieux loup-garou suicidaire et blasé, rien ne va se dérouler comme prévue. 
Par définition, l'amour est imprévisible.


Breizh of the Dead  de Julien Morgan 6/7

Quand Florent rentre en Bretagne pour présenter son petit ami Stéphane à sa famille, il n’aurait pas imaginé que le comité d’accueil serait composé… de morts-vivants ! Un train convoyant des produits toxiques déraille et c’est toute l’Armorique qui défouraille.
Plongés au cœur du chaos, jetés sur les routes aux côtés de quelques survivants, Florent et Stéphane devront faire bien plus que leur coming out s’ils veulent survivre à l’apocalypse zombie. Pourtant, dans ce monde détruit, l'ennemi n'est pas toujours celui que l'on croit.




Bilan 13 entrées pour 9 sorties, l'équilibre n'est toujours pas au point.


Un jour j'investirais dans ce type d'étagère, peut être que ça me raisonnera un peu plus :

source : Drugeot Labo

7 commentaires:

  1. Wouaaaaaaah, tout çaaaaaa :D
    J'aime bien l'idée de l'étagère xD

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    1. Je vais inverser la vapeur pour novembre ça ne peut pas continuer comme ça.

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    2. La fin d'année est toujours plus douloureuse, il y a déjà plus de parutions et puis avec l'automne et l'hiver qui arrive on a besoin de se faire plaisir :p
      Moi je vais craquer un peu plus, parce que j'ai été raisonnable toute l'année donc je peux me permettre un peu d'écarts sur la fin d'année. J'ai dit. ^^

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  2. Oh, tu as lu Le dernier loup-garou. Tu en as pensé quoi ?

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    1. Je suis passée à côté ... J'arrive même pas à le chroniquer

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  3. Et oui, les salons sont vraiment des "pousseurs à la faute" huhu. Voilà de bien belles munitions, ma foi :) L'équilibre n'est pas parfait, mais ça gère ! J'aime bien cette étagère, tiens :)

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  4. Hum je fais mon bilan mensuel et je me réjouit de mes photos pleine de livre (comprendre que c'est la cata).

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