Editions : Bragelonne
Traduit par : Laurent Queyssi
Date de publication : 24/06/2015
Prix papier : 25 € / prix numérique : 12,99 €
596 pages
Prix papier : 25 € / prix numérique : 12,99 €
596 pages
LA TERRE, XXIIe SIÈCLE. Le Mécanisme sait tout. Où vous êtes. À quoi vous pensez, ce que vous ressentez. Le crime n'existe pas. Vous êtes en sécurité. Mais dans une telle utopie, garder un secret peut s'avérer très dangereux.
Ayant profité de l'essor économique de l'Afrique jusqu'à prendre part à l'exploration spatiale, la famille Akinya est à présent à la tête d'un vaste empire industriel. Mais Geoffrey et Sunday Akinya ne veulent rien avoir affaire avec cet héritage. Geoffrey mène des recherches sur l'intelligence des éléphants à l'ombre du Kilimandjaro, et sa sœur poursuit une carrière artistique, hors de portée du Mécanisme, sur la face cachée de la Lune. Mais la mort de leur grand-mère va les projeter dans une course désespérée contre leur propre famille et d'autres puissances à l'affût d'un terrible secret... Une révélation qui pourrait bien faire voler cet univers idyllique en éclats.
Ce livre m'a interpellé dès sa sortie. Pourquoi ? Son titre, sa couverture pour moi étaient déjà des arguments. Si l'on a joute à cela l'étiquette SF, alors que demander de plus ?
Dernier atout et pas des moindres, Lune l'ayant lu très peu de temps après sa sortie, sa chronique m'a alors convaincue que la rencontre avec ce livre était alors inéluctable.
Tellement inévitable, que ce livre est arrivé jusqu'à moi pour mon anniversaire. Merci encore à Lune pour ce cadeau formidable.
Et donc La terre bleue de nos souvenirs, C'est quoi ?
C'est d'abord le premier tome d'une trilogie : Les enfants de Poséidon. Je dois dire d'ores et déjà que ce tome peut se suffire à lui même. Il représente déjà à lui seul un très beau voyage. A savoir que les deux prochains tomes sont déjà paru en VO et que je l'espère ne devrait pas trop se faire attendre dans nos contrées francophones.
Alors que dire sur le contenu. C'est une intrigue reposant sur une enquête à travers l'espace, à travers notre système solaire. Geoffrey est un chercheur, spécialisé dans le comportement des éléphants. Suite à un voyage sur la Lune après les Funérailles de sa Grand-Mère, Eunice, celui ci retrouve un gant d'une très ancienne combinaison spatiale dans le coffre fort de son aïeule. Après auscultation du gant, celui ci révèle des pierres.
Leur interprétation mènera Geoffrey et sa sœur à explorer les pistes laissées par Eunice et à se poser bon nombres de questions. Où leur grand-mère voulait-elle en venir ? Qu'avait-elle à révéler ? Et valait-il mieux laisser tous ceci dans l'oubli ?
Geoffrey et Sunday se retrouvent de part et d'autre de l'univers à la recherche de réponses, se frottant dangereusement avec le Mécanisme et acceptant des alliances intrigantes. Et bien souvent sous surveillance étroite de leurs deux cousins, Hector et Lucas, garant intransigeant de la réputation de la famille Akinya, et surtout de la pérennité financière bâti par leur aïeule : Akinya Space.
Je ne vais pas en révéler d'avantage. Le livre offre un voyage extraordinaire à travers l'espace et nous offre cet univers à porté de main. J'ai mis un peu de temps à m'approprier ce terme, qui pour moi n'avait pour l'instant que peu d'écho. Mais je rejoins Lune sur ce aspect du livre, qui est somme toute subjective mais qui donne déjà une certaine qualification du livre. Oui je le qualifie volontiers comme un Sense of Wonder.
Dans ce premier tome des enfants de Poséidon Alastair Reynold nous offre un superbe voyage dans l'univers servi par une intrigue sous forme d'enquête. Ce tome peut se voir comme une introduction à la trilogie. Mais La terre bleue de nos souvenirs peut également se suffire à lui même. Le récit est un peu lent, mais j'ai apprécié cette lenteur, une façon pour moi de savourer le background que nous offre l'auteur. De m'approprier les différentes technologies et évolutions des sociétés.
Vous l'aurez aisément compris j'ai passé un très agréable moment de lecture pour modérer mon propos qui se rapprocherait plus de => J'ai surkiffé les gens, allez y c'est de la très bonne came.
C'est donc pour moi une belle révélation, qui toujours en quête d'initiation, découvre un nouvel auteur qui me promet de beau moment de lecture.
Geoffrey et Sunday se retrouvent de part et d'autre de l'univers à la recherche de réponses, se frottant dangereusement avec le Mécanisme et acceptant des alliances intrigantes. Et bien souvent sous surveillance étroite de leurs deux cousins, Hector et Lucas, garant intransigeant de la réputation de la famille Akinya, et surtout de la pérennité financière bâti par leur aïeule : Akinya Space.
Je ne vais pas en révéler d'avantage. Le livre offre un voyage extraordinaire à travers l'espace et nous offre cet univers à porté de main. J'ai mis un peu de temps à m'approprier ce terme, qui pour moi n'avait pour l'instant que peu d'écho. Mais je rejoins Lune sur ce aspect du livre, qui est somme toute subjective mais qui donne déjà une certaine qualification du livre. Oui je le qualifie volontiers comme un Sense of Wonder.
Dans ce premier tome des enfants de Poséidon Alastair Reynold nous offre un superbe voyage dans l'univers servi par une intrigue sous forme d'enquête. Ce tome peut se voir comme une introduction à la trilogie. Mais La terre bleue de nos souvenirs peut également se suffire à lui même. Le récit est un peu lent, mais j'ai apprécié cette lenteur, une façon pour moi de savourer le background que nous offre l'auteur. De m'approprier les différentes technologies et évolutions des sociétés.
Vous l'aurez aisément compris j'ai passé un très agréable moment de lecture pour modérer mon propos qui se rapprocherait plus de => J'ai surkiffé les gens, allez y c'est de la très bonne came.
C'est donc pour moi une belle révélation, qui toujours en quête d'initiation, découvre un nouvel auteur qui me promet de beau moment de lecture.
Bon va falloir que je songe à me pencher dessus !
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