Editions : denoël Lunes d'Encre
Titre V.O : Last year
Traduit par Henry-Luc Planchat
Illusration de couverture Aurélien Police
Prix papier : 22,00 € / Prix numérique : 15,99 €
266 pages
Pour cinq ans seulement, jusqu’en 1877, la cité de Futurity dresse ses immenses tours jumelles au-dessus des grandes plaines de l'Illinois. Depuis Futurity, des hommes du futur viennent visiter le XIXe siècle. Et, contre une fortune en métaux précieux, les autochtones peuvent dormir dans la tour n° 1, véritable vitrine technologique d’un incompréhensible XXIe siècle.
C’est dans cette cité, construite à partir d’un futur parallèle, que travaille, comme agent de sécurité, Jesse Cullum, un autochtone. Parce qu’il a sauvé le président Ulysse Grant d’une tentative d’assassinat, Jesse se voit proposer une promotion : assisté d’une femme du XXIe siècle, il va devoir mener l’enquête.
Mais que va-t-il réellement découvrir? Un complot pour tuer le président… ou les inavouables secrets de Futurity?
Après avoir imaginé le futur des réseaux sociaux dans Les Affinités, Robert Charles Wilson revient avec ce roman de voyage dans le temps a priori plus classique, où les surprises s’enchaînent à un rythme vertigineux.
C'est toujours un plaisir de retrouver la plume de Robert Charles Wilson. Après Les Perséides et Les Affinités, j'étais heureuse de le lire surtout dans le thème du voyage dans le temps.
Comme l'indique la 4ème de couverture La cité du futur est une cité nommée Futurity, bâtie pour 5 ans en 1877. Des habitants du futur y ont construit 2 tours, n°1 et n°2, chacune avec des affectations différentes. Futurity est surtout une attraction touristique tant pour les autochtones que pour les voyageurs du futurs d'où l'idée de les séparer dans deux tours distinctes.
L'idée rejoint quelque peu la série Westworld, à la différence que dans La cité du futur il y a voyage dans le temps. La cité a une durée de vie de 5 ans afin d'éviter de trop interférer dans le futur de l'époque qu'ils visitent. Même s'il faut bien le préciser, C'est un voyage dans le temps et un voyage dans un univers parallèle. Si bien que la venue de voyageurs du futur dans le passé ne pourra pas interférer sur leur présent.
Pour narrer son histoire l'auteur choisi un protagoniste du passé et un du futur, qui doivent travailler ensemble sur un trafics d'armes du futur qui s'écouleraient en 1877 et engendrerait un impact trop important sur le futur du monde d'hier. (Fastoche vous avez tout compris)
Jesse Collum est un agent local de sécurité et Elisabeth DePaul un agent du futur. L'histoire va graviter autour de ces deux personnages, qui vont apprendre énormément de chacun sur leur culture qui sont bien différentes. Eh oui ! 140 ans les séparent, c'est pas rien.
Le roman par ce biais mets l'accent sur la xénophobie qu'il régnait à l'époque, la position des femmes dans la société etc. Et par la même il souligne les dommages d'un tourisme intrusif et destructeur, la balance entre bénéfices/ pertes sur sur la vie des autochtones s'apparente plus au désastre post-colonisation.
Le roman ne s'essouffle pas, le rythme du roman et les rebondissements permettent de bien accrocher le lecteur,et les personnages ne souffrent pas non plus d'un manque de volume. Une lecture ludique et absolument divertissante qui n'oublie pas non plus la réflexion, malheureusement transposable encore de nos jours.
Pour narrer son histoire l'auteur choisi un protagoniste du passé et un du futur, qui doivent travailler ensemble sur un trafics d'armes du futur qui s'écouleraient en 1877 et engendrerait un impact trop important sur le futur du monde d'hier. (Fastoche vous avez tout compris)
Jesse Collum est un agent local de sécurité et Elisabeth DePaul un agent du futur. L'histoire va graviter autour de ces deux personnages, qui vont apprendre énormément de chacun sur leur culture qui sont bien différentes. Eh oui ! 140 ans les séparent, c'est pas rien.
Le roman par ce biais mets l'accent sur la xénophobie qu'il régnait à l'époque, la position des femmes dans la société etc. Et par la même il souligne les dommages d'un tourisme intrusif et destructeur, la balance entre bénéfices/ pertes sur sur la vie des autochtones s'apparente plus au désastre post-colonisation.
Le roman ne s'essouffle pas, le rythme du roman et les rebondissements permettent de bien accrocher le lecteur,et les personnages ne souffrent pas non plus d'un manque de volume. Une lecture ludique et absolument divertissante qui n'oublie pas non plus la réflexion, malheureusement transposable encore de nos jours.
tiens salut !!
RépondreSupprimerje te réveille :')
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