mercredi 30 septembre 2015

Le 30 du mois #13

La reprise du travail se fait bien ressentir, et la déception de deux livres également, un mois pauvre en lecture, pauvre en chronique et malheureusement riche en entrées :


Les entrées




samedi 26 septembre 2015

Semences - Jean-Marc Ligny

Editions : L'atalante
Collection : La dentelle du cygne
Illustré par Raphaël Defossez
Date de parution : 24/09/2015
Prix papier : 21 € / Numérique : 9,99 €
412 pages


Sur une Terre dont le climat a radicalement changé suite à l’emballement climatique des trois siècles précédents...
Un jeune couple, Denn et Nao, issu d’une tribu cavernicole d’Amérique du Nord, entreprend un voyage vers un « paradis terrestre » aperçu sur un foulard en soie peinte que leur a légué un homme bardé d’objets inconnus, sorti du désert pour venir mourir près de leur grotte.
Ils croisent des nomades, traversent des ruines irradiées, découvrent des technologies résiduelles et, encore et toujours, des façons de s’adapter inimaginables... jusqu’au Groenland où, d’après eux, serait situé ce « paradis ».
Or Nao a emporté une micro-société de fourmites avec qui elle partage des liens quasi-télépathiques et qui nourrissent peut-être d’autres desseins… 
Un road-movie qui signe la renaissance de l’humanité.

lundi 21 septembre 2015

Les quinze premières vies d'Harry August de Claire North

Editions :Milady
Traduit par Isabelle Troin
Date de parution :
GF : 22/05/2014 Poche : 28/08/2015
Prix : GF : 20 €, Poche : 8.20 € Numérique : 5,99 €
570 pages


Harry August se trouve sur son lit de mort. Une fois de plus.

Chaque fois qu’il décède, il naît de nouveau, au lieu et à la date exacts auxquels il est venu au monde la première fois, possédant tous les souvenirs des vies qu’il a déjà vécues. Au crépuscule de sa onzième vie, une petite fille apparaît à son chevet. « J’ai bien failli vous rater, docteur August, dit-elle. Je dois vous transmettre un message, passé d’enfant à adulte, d’enfant à adulte, remontant de génération en génération depuis un millénaire dans le futur. Le voici : la fin du monde approche, et nous ne pouvons pas l’empêcher. 

À vous de jouer.

dimanche 13 septembre 2015

Nous allons tous très bien, merci- Daryl Gregory

Edition : Le Bélial'
Illustration de couverture : Aurélien Police
Traduit par Laurent PHILIBERT-CAILLAT
Date de parution : 27 août 2015
prix papier : 16 € / prix numérique : 7.99 €
194 pages


Il y a d’abord Harrison, qui, adolescent, a échappé à une telle horreur qu’on en a fait un héros de romans. Et puis Stan, sauvé des griffes d’une abomination familiale l’ayant pour partie dévoré vif. Barbara, bien sûr, qui a croisé le chemin du plus infâme des tueurs en série et semble convaincue que ce dernier a gravé sur ses os les motifs d’un secret indicible. La jeune et belle Greta, aussi, qui a fui les mystères d’une révélation eschatologique et pense conserver sur son corps scarifié la clé desdits mystères. Et puis il y a Martin, Martin qui jamais n’enlève ses énormes lunettes noires… Tous participent à un groupe de parole animé par le Dr Jan Sayer. Tous feront face à l’abomination, affronteront le monstre qui sommeille en eux… et découvriront que le monstre en question n’est pas toujours celui qu’on croit…
Nous allons tous très bien, merci, roman finaliste des plus grands prix littéraires du domaine — Nebula, Locus, Theodore Sturgeon et World Fantasy —, lauréat du prestigieux Shirley Jackson Award, est actuellement en cours d’adaptation par Wes Craven en série télévisée. Il s’agit du second livre de Daryl Gregory publié en France après L’éducation de Stony Mayhall. 
“Ce roman pluriel — méchamment drôle, horrible et néanmoins curieusement inspirant — s’avère une réussite pleine de ténèbres, un récit en équilibre entre le dégénéré et le sublime…” Publishers Weekly

mardi 8 septembre 2015

Pause technique

bonjour,

Je profite de l'ordinateur de Arieste pour faire un petit billet.

J'ai actuellement une coupure internet pour une durée indéterminée. Ce qui fait que je n'ai pas plus accès au blog.

Le bilan Z se voit du coup reporter. Toutes mes plates excuses.

Surtout continuer à me laisser des chroniques pour le CRAAA et le Zombies Challenges.

A bientôt,

Cornwall

lundi 7 septembre 2015

[Concours] L'été de l'infini de Christopher Priest

Illustration de couverture par Aurélien Police

L’ÉTÉ DE L'INFINI DE CHRISTOPHER PRIEST à paraitre le 17 septembre aux éditions Le Bélial'

« À environ un tiers du marais se trouvaient les restes de l’avion allemand accidenté, peint de multiples nuances de brun et de vert, pétrifié dans le temps. Il s’était immobilisé lors du rebond, après un premier impact destructeur, à l’instant où il s’élevait dans la boue gelée parmi des panaches d’écume glacée. »
Héritier littéraire, à l’image de son compatriote J. G. Ballard, de la new wave britannique qui révolutionna les littératures de genre au tournant des années 70, on doit à Christopher Priest de nombreux incontournables — Le Monde inverti, La Fontaine pétrifiante, Le Glamour, ou encore L’Adjacent. Son roman Le Prestige, publié en 1995, lauréat du World Fantasy Award, a été porté à l’écran en 2006 par Christopher Nolan.
L’Été de l’infini réunit les meilleures nouvelles de Christopher Priest publiées sur cinquante années de carrière, soit douze textes, dont quatre inédits. 
Un long entretien, le témoignage de l’aventure que fut l’adaptation du Prestige au cinéma, ainsi qu’une bibliographie exhaustive, complètent un ensemble indispensable à l’appréhension d’un auteur dont Xavier Mauméjean affirme, dans son introduction au présent ouvrage : 
« [qu’il] est un écrivain de sciencefiction et se revendique comme tel. Pourtant, avec d’autres auteurs d’égale envergure, tel Philip K. Dick, Thomas M. Disch, J. G. Ballard ou Frederik Pohl, il pousse le genre à son extrême limite, l’oblige à se dépasser en explorant la réalité, à affronter ce qui se tient hors de portée du vrai. La vérité n’est qu’une possibilité du réel, en aucun cas sa mesure... »



samedi 5 septembre 2015

Les perséides - Robert Charles Wilson

Editions : Le Bélial'
Traduit par Gilles Goulet 
Date de parution : 11/09/2015
Prix Papier : 22 € / prix numérique : 11,99 €
311 pages 

« Finders était le nom d’une librairie d’occasion délabrée près de l’université. Un endroit que Paul adorait. J’y étais allé, mais il ne m’avait pas fait forte impression. On y trouvait quelques éditions originales qui manquaient de tenue, un grand rayon d’absurdités occultes dans le genre de Madame Blavatsky et des romans à deux sous oubliés des années 50... »
C’est l’histoire de deux géographies intriquées : celle des ruelles nocturnes de Toronto et celle de l’étrange librairie Finders, deux géographies qui ne sont pas ce qu’elles semblent être car non, décidément, la carte n’est pas le territoire... C’est l’histoire des abîmes vertigineux de l’espace et du temps et de ce qu’ils abritent, de l’étrange et de l’occulte, là, au coin de la rue, au détour d’un rayonnage de bibliothèque ou sur une case d’échiquier... C’est l’histoire de ce qui ne peut être vu et que l’on voit quand même, de ce qui ne peut être dit et qu’il nous faut dire, malgré tout... C’est l’histoire des Perseides, neuf récits se répondant les uns les autres pour tisser l’ébauche d’un paysage indicible, un livre à l’ombre des grands maîtres tutélaires de l’œuvre wilsonienne : Jorge Luis Borges, Howard Phillips Lovecraft et Clifford D. Simak en tête. Peut-être le livre le plus personnel de Robert Charles Wilson.
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...