samedi 31 janvier 2015

Le 30 du mois #5



Je crois que ce mois-ci j'ai été globalement plus sage, après je ne compte que les livres reçus, car je dois vous avouez que j'ai fait quand même trois pré-commandes ce mois-ci également.
 Alors plus sage niveau acquisition, heureusement, parce que niveau lecture, c'est plus que passable. La balance est encore très loin de l'équilibre. Entre panne de lecture et fatigue, les rendez-vous livresque ont été rare. Bien que peu nombreuses mes lectures ont été bonne à part une exception, et j'ai pris grand plaisir à les lire. Et ce qui prime c'est bien la qualité, j'aimerais lire plus, avoir plus de temps pour lire, mais j'ai pas d'esprit de compétition au point de me contraindre au gavage livresque.


Entrées :


  • Sumerki de Dmitry Glukhovsky, parce que le synopsis me plait et les retours que j'ai lu me font croire qu'il est vraiment susceptible de me plaire 
  • Les vies parallèles de Greta Wells de Andrew Sean Greer, après la chronique de la Choupette et celle de Lhisbei, ce livre me tentait beaucoup, après avoir été longtemps sur la wish-list j'ai enfin succombé.
  • Il faudrait pour Grandir oublier la Frontière de Sébastien Juillard, futur publication (papier et numérique) des Editions Scylla.
  • Le paradoxe de Fermi de Jean-Pierre Boudine, parce que Lunes d'encre et parce que Post-apo, il m'en faut peu.
  • Dernier meurtre avant la fin du monde de Ben H. Winter, parce que tout le synopsis est dans le titre.

Rajout de dernières minutes, j'ai relevé ma boite aux livres :

  • La séparation de Christopher Priest, parce que Houuuu la honte je l'ai pas encore lu
  • Le club des maris de Sébastien Gollut, parce que j'ai lu l'extrait et que je veux connaitre la suite !


Sorties : 


- Penses-tu Philipe, que nous soyons définitivement condamnés à vivre dans un mon pareil ? Crois-tu qu'il existe autre chose... je ne sais pas, ailleurs, au-delà... Pouvons-nous encore rêver ? Tu y penses, quelque fois ? J'entends tous les jours des clients me raconter des histoires. Est-ce tu risquerais ta vie, toi, pour prendre part à une insurrection ?
Dans ce roman d'anticipation politique et économique, le monde que nous avons connu a beau toucher à sa fin, l'économie de marché n'en continue pas moins de faire «des progrès», sous la férule des banques, qui ont accaparé tous les pouvoirs, cherchant dans les décombres de notre civilisation de quoi survivre et même triompher encore. Dans cet univers totalement implacable désenchanté, où tout semble se rétrécir, et où seule la rigueur implacable du calcul économique constitue un point fixe, quelque chose finira par échapper au contrôle. L'auteur, qui se plait à retrousser les grands thèmes orwelliens pour les transposer au totalitarisme des marchés et à la tyrannie de l'autocontrôle disséminé, entraîne le lecteur dans une machination grandiose, dont Smithski, le personnage principal, est la victime et l'instrument. Cette machination, dont on peine à imaginer l'intention, laisse espérer plus d'un retournement.


Les Vies parallèles de Greta Wells           7/7 ( chronique à paraître) 
New York, 1985. Après une douloureuse rupture et la mort de son frère jumeau, Greta Wells suit un traitement par électrochocs pour guérir sa dépression. Mais des effets secondaires pour le moins inattendus apparaissent : Greta se trouve régulièrement transportée dans ses « vies parallèles », en 1918 et 1941. Différentes vies, différentes époques, mais dilemmes similaires : suivre sa passion ou protéger sa famille, s'affirmer ou se taire. et surtout, dans quelle vie rester ? A travers ces enivrants voyages dans le temps, Andrew Sean Greer nous fait revivre les moments-clés de notre siècle passé, auxquels se mêlent les tragédies intimes de Greta et de ses proches





Dans son repaire situé quelque part à l’est de l’arc alpin, Robert Poinsot écrit. Il raconte la crise systémique dont il a été témoin : d’abord le salaire qui n’arrive pas, les gens qui retirent leurs économies, qui s’organisent pour trouver de quoi manger, puis qui doivent fuir la violence des grandes villes et éviter les pilleurs sur les principaux axes routiers.
Robert se souvient de sa fuite à Beauvais, de son séjour dans une communauté humaniste des bords de la mer Baltique et des événements qui l’ont ramené plus au sud, dans les Alpes.
Quelque part dans le récit de sa difficile survie se trouve peut-être la solution au paradoxe de Fermi, à cette célèbre énigme scientifique : dans un univers aussi vaste que le nôtre, l’espèce humaine ne peut pas être la seule douée d’intelligence ; alors où sont les autres, où sont les traces radio de leur existence?
Jamais auparavant l’effondrement de notre civilisation ne fut décrit de façon plus réaliste.


Il faudrait pour Grandir oublier La Frontière de Sébastien Juillard  7/7 ( chronique à paraître)
Les années 2050 à Gaza. Née sur les cendres des vieilles guerres, la Palestine est une réalité fragile. Mais à Gaza, on est libre.
Keren Natanel, officier israélien en mission détachée pour l’ONU, enseigne les langues dans une école pour femmes de la Bande. Sa trajectoire croisera bientôt celles de trois hommes : Jawad, l’ingénieur cybernéticien, Bassem, le fou de Dieu et Marwan, politique et homme d’affaires. Trois Gazaouis qui partagent avec elle une même question lancinante : Quel futur possible sur cette terre encore blessée, où l’inépuisable colère le dispute à la lassitude et aux illusions identitaires jamais dissipées ?



Sovok de Cédric Ferrand    7/7  ( chronique à paraître)
Moscou, dans un futur en retard sur le nôtre. Manya et Vinkenti sont deux urgentistes de nuit qui circulent à bord de leur ambulance volante de classe Jigouli. La Russie a subi un brusque infarctus politique, entraînant le pays tout entier dans une lente agonie économique et une mort clinique quasi certaine. Le duo d’ambulanciers est donc le témoin privilégié de la dégradation des conditions de vie des Russes. Surtout que leurs propres emplois sont menacés par une compagnie européenne qui s’implante à Moscou sans vergogne.
 Et puis un soir, on leur attribue un stagiaire, Méhoudar, qui n’est même pas vraiment russe, selon leurs standards. Ils vont quand même devoir lui apprendre les ficelles du métier.




Les Âmes envolées de Nicolas le Breton    abandonné au bout de 90 pages

L'automobile n’a jamais été inventée. On parcourt le monde en ballons, dirigeables et autres aérostats. En cette année 1912 monsieur Louis Lépine, préfet de Seine et père du célèbre concours, s’embarque dans une drôle d’affaire. Des morts qui s’animent et enlèvent de belles dames et de savants messieurs (ou l’inverse). Des moteurs étranges qui soufflent le feu et le froid. Des automates fous et des mécaniques hantées. Une conspiration qui éclaire sinistrement les enjeux secrets de la Première Guerre mondiale.
Dans une course de Paris aux Indes, de l’Himalaya aux champs de bataille d’Ypres, un roman échevelé, qui swingue comme les premières notes d’un jazz endiablé, qui gigue comme le pont du dirigeable dans la tempête, qui siffle de vapeur sous pression et chauffe comme une section de cuivres bien lubrifiée.





Voilà, vaincre sa Pàl c'est aussi inatteignable que ça :




jeudi 29 janvier 2015

Bilan Z # 5

Bilan Z 

( épisodes précédents : épisode 1 : 28 jours plus tard ...


épisode 5 : Épiphanie et Thérapie


J'en conviens, avoir fondu en larme n'a fait que refiler la morosité à toute l'équipe. Je m'en veux d'avoir renoncer comme ça. Ça ne me ressemble pourtant pas. Du coup le 1er de l'an s'est passé, mais pas sous le signe de la festivité. Cette fête qui symbolise une nouvelle année promesse de renouvellement a été ressenti comme du vinaigre sur une plaie ouverte. Personne n'avait plus à ce moment de combativité. Le nouvel an est pourtant fait pour se projeter vers avenir meilleur. Quel futur pour nous aujourd'hui ? En guise de prémisse d'un destin plus tourmenté, comme un avertissement sur nos mauvaises résolutions; l'électricité a cessé. L'électricité, ce haut symbole de notre civilisation moderne, celui qui unit chaque homme entre eux. Sans électricité c'est tout un pan de nos espoirs qui s’effondre. On est la génération du tout connecté, on a jamais connu notre monde sans une ampoule qui s'allume, et on est bien incapable de subvenir à nos besoins sans. Les maîtres mots sont maintenant organisation, gestion, sang froid. Elessar gardant toujours sont optimiste sort alors :
- Ok, pour qu'on s’organise, mais pas question de se la jouer Zombie Hunter
- Ni à la Zombie ball, renchérit Blacky 
- Oui enfin, faut quand même garder à l'esprit qu'on n'est pas dans L'éducation de Stony Mayhall se ressaisit Elessar 
- C'est clair, c'est pas de la Zombie thérapie, dehors ! glisse sarcastiquement Marie Juliet. 
- On est bien d'accord, on va pas se la raconter, ma famille normal contre les zombies, surenchérit Sia.
- Exactement, on doit faire face et ne pas goûter à la brièveté de la vie, nous sort Doris de façon combative.
- Oui en même temps c'est eux qui nous goûte pour le coup ! Et combattre le zombie, on est d'accord c'est pas une sinécure ! Lui rétorqué-je
- De but en blanc ça fait un peu bizarre, mais c'est po faux ! Répond Blacky, avec une petit lueur d'amusement. 
- Arrêtez votre dialogue insipide, il y a un moment où faudra bien se lancer dans le Breizh of the Dead ! Déclame Elessar, le poing au cœur, limite surjoué.
- Il va vraiment falloir mettre les choses bien au clair, déterminer le rôle de chacun selon nos aptitudes, histoire de ne pas reproduire la chute du gouverneur, qui avait trop misé sur son seul charisme et sa seul opinion, nous explique Chani.
Doris prise visiblement d'une inspiration divine, se précipite sur son calepin et griffonne précipitamment. Je lui demande alors :
- Et alors Doris, qu'est-ce qui t'arrive ? 
- Chuttt, j'ai un truc qui me vient là, et avec ma mémoire de poison faut que je couche ça immédiatement sur papier. 
- Tu sais la fin du monde se passera sans doute de tes éclairs de génie. Tu partages avec nous qu'on savoure ta prose ? 
- Deux secondes je peaufine !
Elle reprend après quelques améliorations et nous déclame son poème :
Oh ! de la brièveté de la vie émane cette noire survivance.
Du précis de décomposition découle notre intrépide destinée ...
- C'est nul, nul, nul, zéro, Et puis c'est quoi ces épithètes débiles là ? lui rétorqué-je, non sans un certain cynisme désabusé. 
- Tu comprends rien à rien, C'est ... c'est ...  Une licence poétique ! Voilà ! me répond-elle outrée.
  

dimanche 25 janvier 2015

Le Paradoxe de Fermi de Jean-Pierre Boudine


Editions : Denoël Lunes d'encre
Date de parution : 08/01/2015
Illustration de couverture : Aurélien Police
Prix papier : 18 € 
182 pages 


Dans son repaire situé quelque part à l’est de l’arc alpin, Robert Poinsot écrit. Il raconte la crise systémique dont il a été témoin : d’abord le salaire qui n’arrive pas, les gens qui retirent leurs économies, qui s’organisent pour trouver de quoi manger, puis qui doivent fuir la violence des grandes villes et éviter les pilleurs sur les principaux axes routiers.
Robert se souvient de sa fuite à Beauvais, de son séjour dans une communauté humaniste des bords de la mer Baltique et des événements qui l’ont ramené plus au sud, dans les Alpes.
Quelque part dans le récit de sa difficile survie se trouve peut-être la solution au paradoxe de Fermi, à cette célèbre énigme scientifique : dans un univers aussi vaste que le nôtre, l’espèce humaine ne peut pas être la seule douée d’intelligence ; alors où sont les autres, où sont les traces radio de leur existence?
Jamais auparavant l’effondrement de notre civilisation ne fut décrit de façon plus réaliste.

samedi 24 janvier 2015

Oyez Oyez !! Le blog a 2 ans !! Concours inside


Voilà que le blog a deux ans !! Et j'avoue que je suis surprise d'arriver un tant soit peu à maintenir un certain cap, sans il faut l'avouer avoir une régularité énormissime. Mais tout ça je vous le dois, vous lecteur du blog, anonymes comme fidèles authentifiés. Sans vous le blog ne serait pas ce qu'il est maintenant. Et même si dans un premier temps je voulais me passer de concours. C'est plus fort que moi, j'aime faire plaisir et visiblement les éditeurs aussi puisqu'ils m'ont suivi sans difficulté, je les en remercie d'ailleurs.

Voici en attendant un micro bilan du blog au cours de ces deux ans : 

C'est 183 billets, avec une moyenne de 7 billets par mois, c'est pas énorme mais je m'en félicite. 
  • 53 chroniques de livres pour 2014
  • 64 chroniques de livres pour 2013
  • A peu près 1200 commentaires
  • Une moyenne de 100 à 120 visites par jours
  • Une nouveau rendez-vous depuis août, le 30 du mois, qui a son petit succès et qui me permet de voir où j'en suis de mon équilibre Achats/ Lectures, et c'est loin d'être gagné.  
  • C'est deux challenges en cours qui fonctionnent du tonnerre, merci à tous les participants :
  1. Le Morwenna's List, avec 18 participants et pas loin de 62 chroniques répertoriées.
  2. Le Zombies Challenge, avec 24 participants et pas loin de 57 chroniques répertoriées pour cette première saison qui n'est pas encore achevée.

Je vous propose donc pour ces 2 ans, 4 nouveautés à paraître. Vous pouvez participer pour un ou plusieurs, il vous suffira simplement de répondre aux questions attenantes aux livres.



Couverture réalisée par Aurélien Police

Le Château des Millions d'Années de Stéphane Przybylski à paraitre le 12 Février 2015 aux éditions du Bélial'
Juin 1939. Heinrich Himmler diligente une expédition archéologique en
Irak, dans le but officieux de s’allier les tribus locales afin de lutter contre
l’ennemi britannique.
Au sein de l’expédition, l’officier SS Friedrich Saxhäuser. Vétéran de la
Grande Guerre, il a lié son destin à celui d’Adolf Hitler depuis le putsch
manqué de Munich en 1923. Jamais totalement acquis aux thèses nazies,
Saxhäuser est un agent double, naviguant dans les eaux troubles des différents
services de renseignement du Reich.
Au fond d’une vallée d’un affluent du Tigre, Saxhäuser met au jour quelque
chose venu d’ailleurs, susceptible de changer la donne dans le conflit qui
s’annonce. Cependant, les doutes que le SS nourrit envers le régime nazi
s’exacerbent : doit-il s’abstenir de remettre à Hitler sa découverte ? Mais
ne s’est-il pas déjà trop compromis ?




Couverture réalisé par Aurélien Police
 Rédemption de Bérangère Rousseau à paraître le 3 févier 2015 aux éditions de Riez

Quand un vieux médaillon et quelques documents anciens révèlent à Noâm les soupçons de collaboration qui pèsent sur son arrière-grand-père, son monde bascule. Comment accepter et vivre avec cette honte ? Il veut comprendre. Avec son meilleur ami, il se rend au Château de Noisy, là où son aïeul fut aperçu pour la dernière fois.
Sur place, ils sont victimes d’un éboulement. Ils se réveillent en 1944 à la veille de la Bataille des Ardennes. Noâm voit là l’occasion de restaurer l’honneur de sa famille, au risque de changer le cours de l’Histoire. Et si, justement, celle-ci avait déjà changé ?





Couverture (provisoire) par Clément Chassagnard.
 Le Cercle de Farthing de Jo Walton à paraître le 5 Févier 2015 aux éditions Denoël Lunes d'Encre
Le livreHuit ans après que « la paix dans l’honneur » a été signée entre l’Angleterre et l’Allemagne, les membres du groupe de Farthing, à l’origine de l’éviction de Churchill et du traité qui a suivi fin 1941, se réunissent au domaine Eversley pour le week-end. Bien qu’elle se soit mariée avec un Juif, ce qui lui vaut d’habitude d’être tenue à l’écart, Lucy Kahn, née Eversley, fait partie des invités. Les festivités sont vite interrompues par le meurtre de Sir James Thirkie, rien de moins que l’artisan de la paix avec Adolf Hitler. Sur son cadavre a été laissée en évidence l’étoile jaune de David Kahn.Un meurtre a eu lieu à Farthing et un coupable tout désigné se trouvait sur les lieux du crime. Convaincue de l’innocence de son mari, Lucy trouvera dans le policier chargé de l’enquête, Peter Antony Carmichael, un allié. Mais pourront-ils ensemble infléchir la trajectoire d’un Empire britannique près de verser dans la folie et la haine ?



Couverture réalisée par Prince Gigi
Sovok de Cédric Ferrand à paraître le 6 février 2015 aux éditions Les moutons électriques
Moscou, dans un futur en retard sur le nôtre. Manya et Vinkenti sont deux urgentistes de nuit qui circulent à bord de leur ambulance volante de classe Jigouli. La Russie a subi un brusque infarctus politique, entraînant le pays tout entier dans une lente agonie économique et une mort clinique quasi certaine. Le duo d’ambulanciers est donc le témoin privilégié de la dégradation des conditions de vie des Russes. Surtout que leurs propres emplois sont menacés par une compagnie européenne qui s’implante à Moscou sans vergogne.
 Et puis un soir, on leur attribue un stagiaire, Méhoudar, qui n’est même pas vraiment russe, selon leurs standards. Ils vont quand même devoir lui apprendre les ficelles du métier.


Modalités de participations :

Le concours est ouvert à TOUS.
Il court du 24 Janvier 2015 au 5 Février 2015 inclus.
Le concours est ouvert à la France et aux pays limitrophes. 
Une seule participation par foyer.

Pour participer, il vous suffit de répondre aux questions du livre pour le/lesquel(s) vous participez, les réponses seront envoyées obligatoirement par mail à laprophetiedesanes[at]gmail[point]com avec comme libellé "Concours 2 ans"  en incluant votre prénom, nom, pseudo si vous en possédez un, et votre adresse postale complète.


Notez que Le Château des Millions d'années, parait le 12 février 2015, le gagnant recevra donc son lot à la date de parution.




Pour le Château des Millions d'Années :

1. En combien d'épisodes numériques a été découpé le livre avant sa parution papier ?
2. Citez deux titres Le Bélial' ayant fait l'objet d'une chronique sur le blog.

Pour Rédemption : 

1 . Comment se nomme le meilleur ami de Noâm ?
2. Quel est le nom du nouveau titre Graffics, dans le même univers que de La loi du désert de Franck Ferric à paraître également aux éditions de Riez ?

Pour Le Cercle de Farthing : 

1. Citez le titre de Jo Walton paru précédemment chez Denoël Lunes d'Encre.
2. Donnez-moi le dernier titre paru de Denoël Lunes d'Encre.

Pour Sovok : 

1. Citez un autre titre de l'auteur paru précédemment.
2. Pour quel mois est prévu, Chasse Royale de Jean-Philippe Jaworski, deuxième tome de la trilogie Rois du Monde ?











Sinon je me permets un brin de pub pour un éditeur en devenir, il n'attend plus que vous pour exister. Je vous invite donc à visiter sa page, pour découvrir quels seront les premiers titres proposés si le Crowdfunding arrive à son terme. Je suis en pleine lecture de Il faudrait pour grandir oublier la frontière de Sébastien Guillard. Je peux déjà vous dire que c'est un très bon texte, chronique à venir donc. En attendant, visiter la page et si vous le voulez, si vous le pouvez, aider cette nouvelle aventure éditoriale.
Et ça se passe Ici

lundi 19 janvier 2015

La liquidation de Laurent Cordonnier



Editions: Les Liens qui Libèrent
Date de parution : 7/05/2014
Prix papier : 22 € / Prix numérique : 15,99 €
368 pages 

- Penses-tu Philipe, que nous soyons définitivement condamnés à vivre dans un mon pareil ? Crois-tu qu'il existe autre chose... je ne sais pas, ailleurs, au-delà... Pouvons-nous encore rêver ? Tu y penses, quelque fois ? J'entends tous les jours des clients me raconter des histoires. Est-ce tu risquerais ta vie, toi, pour prendre part à une insurrection ?
Dans ce roman d'anticipation politique et économique, le monde que nous avons connu a beau toucher à sa fin, l'économie de marché n'en continue pas moins de faire «des progrès», sous la férule des banques, qui ont accaparé tous les pouvoirs, cherchant dans les décombres de notre civilisation de quoi survivre et même triompher encore. Dans cet univers totalement implacable désenchanté, où tout semble se rétrécir, et où seule la rigueur implacable du calcul économique constitue un point fixe, quelque chose finira par échapper au contrôle. L'auteur, qui se plait à retrousser les grands thèmes orwelliens pour les transposer au totalitarisme des marchés et à la tyrannie de l'autocontrôle disséminé, entraîne le lecteur dans une machination grandiose, dont Smithski, le personnage principal, est la victime et l'instrument. Cette machination, dont on peine à imaginer l'intention, laisse espérer plus d'un retournement.

jeudi 1 janvier 2015

Bilan Z #4




Bilan Z 

( épisodes précédents : épisode 1 : 28 jours plus tard ...

épisode 4 : Zombies, hobbies et ataraxie ...

Le mois de décembre fut étonnamment calme. 
A l'approche des fêtes, nous avons essayé d'apporter un peu de légèreté à notre quotidien. Chacun a apporté sa contribution festive dénichée des différents appartements, nous avons entièrement redécoré la librairie pour lui donner une bonne ambiance de noël. Bougie orange/cannelle par ci, bombe à neige par là. Lelf s'est donné beaucoup de mal et nous a cuisiné avec les moyens du bord, des manneles et un délicieux Stollen au massepain. Il y avait même une playlist de Noël sur l'ordinateur de la librairie. Imaginez un peu « Let it snow » par Dean Martin, de quoi se tirer une balle ...
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